A chacun son arbre

V 123B

B-)

Abeilles et apiculture

Un apiculteur est venu dans notre classe. On a pu observer les abeilles dans une ruchette, on a même vu la reine. Il nous a parlé de la vie des abeilles, il nous a expliqué comment elles font le miel et comment il le récolte. Avant de partir, il nous en a fait goûter. C’est délicieux !

Brasparts J3 Bientôt le retour !

7h43 1er sms de Mme Bonhumeau Ciel nuageux. On se réveille plus tard ce matin… Certains commencent à ranger les chambres, mais tous les sacs seront prêts à 9h30 !!!

Classe de découverte à Brasparts

Arrivés à Brasparts

Les 2 classes de CE2 sont arrivées au centre de ty menez are !

Ce matin : Les enfants se sont installés dans leurs chambres, ont fait connaissance avec les animateurs et ont visité le centre.

Ce midi : macédoine au surimi, merguez/frites, fruit (banane ou poire)

Cet après-midi : petite randonnée autour du centre, découverte des traces laissées par les animaux. Nous avons vu un chevreuil ! Certains enfants ont pu observer des oisillons de rouge-gorge dans leur nid.

goûter : grenadine, pain et confiture à la fraise.

jeux extérieurs et intérieurs : baby foot, ping pong, jeux bretons…

au dîner : friand au fromage, brochette de dinde et poêlée de légumes, yaourt

Culture de haricots

Nous avons planté des graines de haricots

  • dans un pot n°1 arrosé, dans la classe
  • dans un pot n°2 sans les arroser, dans la classe
  • dans un pot n°3 arrosé laissé à l’obscurité, dans la classe
  • dans un pot n°4 arrosé, au réfrigérateur
  • dans un pot n°5 très arrosé, dans la classe
  • dans un pot n°6 arrosé rangé dans une boîte avec un obstacle et un petit trou laissant passer la lumière (cf. photos), dans la classe

Les graines du pot n°1 ont germé et ont très bien poussé.

Les graines du pot n°2 n’ont pas changé.

Les graines du pot n°3 ont germé et ont très bien poussé mais elles étaient jaunes. Quand on les a mises à la lumière, elles ont verdi. On a appris qu’en présence de lumière, la plante fabrique de la chlorophylle, un pigment vert.

Les graines du pot n°4 n’ont pas changé.

Les graines du pot n°5 ont moisi.

Les graines du pot n°6 ont germé. En poussant, elles ont contourné l’obstacle et sont allées vers la lumière. La plante était jaune jusqu’à ce qu’elle atteigne la lumière et devienne verte.

Nous avons compris que les graines ont besoin d’une humidité optimale et de chaleur pour germer.

Sur les plantes qui ont poussé, on a observé que les cotylédons diminuaient et finissaient par tomber.

Nous les avons alors plantées dans le jardin pour qu’elles puissent se nourrir de la terre.

En effet, au début, la plante trouve sa nourriture dans les cotylédons mais ensuite, elle a besoin de terre. Elle se nourrit grâce à ses racines.

Découverte du littoral

Tout au long de l’année, nous avons travaillé sur le thème de la biodiversité et de l’écologie.

La semaine de la rentrée des vacances de printemps était presque exclusivement consacrée à ces thèmes dans la zone littorale.

Mardi 15 mai, nous avons commencé notre semaine banalisée sur le thème de l’eau et du bord de mer en préparant les activités des trois jours suivants : nous avons listé nos connaissances et nous sommes posé des questions sur la mer, les marées, l’eau… afin de préparer les sorties sur l’estran sableux et l’estran rocheux.

Qu’est-ce que l’estran ?

L’estran est la partie du littoral située entre les limites extrêmes des plus hautes et des plus basses marées. Il constitue un biotope (lieu de vie) spécifique, qui peut abriter de nombreux sous-habitats naturels.

À quoi la marée est-elle due ?

La marée est un mouvement revenant à intervalles réguliers de l’eau de la mer ou des océans. Il se traduit par une montée et une descente du niveau de la mer dans un même endroit. Les marées sont dues à l’influence de la Lune et du Soleil sur les masses d’eau de la Terre. Ces deux astres attirent l’eau de surface (et même les sols) de la Terre entière. Le soleil étant très loin de la Terre, son effet sur les marées est deux fois moins important que celui de la lune. L’essentiel du mouvement de marée est donc dû à la Lune. La mer baisse pendant environ 6 heures, reste étale 20min puis remonte pendant environ 6 heures

Pourquoi l’eau de mer est-elle salée ?

Il y a très longtemps, bien avant l’apparition des hommes, des pluies, en retombant sur le sol terrien, ont « grignoté » les roches. On appelle cela l’érosion. L’eau a ainsi ruisselé sur la Terre en fonction du relief et a créé les rivières, les fleuves, les mers et océans. Par le mécanisme d’érosion, l’eau s’est chargée en sels minéraux qu’elle a transportés jusqu’aux mers ou océans.

Jeudi nous sommes allés à la plage du Moulin Blanc avec les maternelles. Nous avons pris le tram et le bus.

En arrivant, nous avons observé le paysage : le pont, la digue, la plage de sable, le port de plaisance, … Nous avons remarqué la laisse de mer.

Nous avons pris un goûter puis nous avons joué au sable ou au foot, nous avons ramassé des coquillages, des galets. Nous avons pique-niqué puis nous sommes allés à la pêche aux couteaux.

C’est un mollusque bivalve. Il vit dans le sable des plages et est capable de s’enfouir très rapidement grâce à son pied musclé. La façon la plus simple de le capturer est de verser un peu de sel à l’entrée des cavités qu’il creuse. Il se nourrit des particules en suspension dans l’eau et respire en filtrant l’eau qui entre et ressort par ses siphons (les deux petits trous) grâce à ses branchies. Il fallait repérer les trous en forme de deux ronds ou rectangulaires, parfois les petites bulles, mettre une pincée de sel sur le trou, attendre qu’il sorte suffisamment et l’attraper avant qu’il ne s’enfonce à nouveau.

On a aussi trouvé des palourdes, des coques, les myes, des bigorneaux et des petits crabes, une blennie. Avant de retourner à l’école, nous avons remis tous les animaux à l’eau.

Vendredi, nous sommes allés à la plage de Ste Anne du Portzig. Nous avons pris le tram et le bus. En arrivant, nous avons mangé sur l’aire de pique-nique et Maureen nous a rejoints.

Comme la mer était basse, nous avons remarqué que c’est une plage plutôt rocheuse. Il y avait des bateaux posés sur le sable, accrochés à des corps-morts.

Pour trouver les animaux qui vivent sur cet estran, il fallait soulever les algues et les rochers, mais bien les reposer comme ils étaient pour ne pas perturber l’écosystème.

Nous avons trouvé des patelles, des crabes verts, des bernard-l’ermite, des crevettes grises et des roses, des huîtres creuses et plates, des gibbules, des calliostomes, des bigorneaux, des tourteaux, des astéries, des étrilles, un nérophis, une ophiure, des anémones, un porcellane, un gobie, une néreis, des serpentins d’arénicoles, un lièvre de mer. Nous les avons mis dans des barquettes pour mieux les observer puis nous les avons relâchés dans l’eau.

Nous avons remarqué qu’il y a plus d’espèces différentes dans l’estran rocheux mais que les coquillages vivent plutôt dans l’estran sableux.

Nous poursuivrons ce travail par une approche géographique du bord de mer et la découverte d’autres milieux naturels : la forêt (le 28 mai) et le ruisseau (le 7 juin).

Des papillons dans notre classe

Le 4 mai, nous avons reçu les chenilles offertes en récompense du concours « reporters et citoyens » que nous avons gagné l’année dernière. Elles sont arrivées par la poste, dans une boîte transparente. Au début, elles étaient très petites. Elles se nourrissaient d’une gelée à base de soja au fond du pot. Très rapidement, elles ont grossi. Au bout d’un peu plus d’une semaine, elles se sont accrochées au couvercle en prenant la forme d’un J et se sont transformées en chrysalides. Nous les avons installées dans la serre à papillons. Le 24 mai, le premier papillon est sorti, les autres le 25. Les papillons se nourrissant de nectar, le liquide sucré au cœur des fleurs, nous leur avons donné de l’eau sucrée que nous avons versée sur un mouchoir en papier. Nous avons pu observer leurs trompes quand ils buvaient. Nous les avons relâchés dans le jardin de la maternelle. L’un des papillons est tout de suite allé butiner une rose blanche.

Empire romain et mythologie - Visite commentée

En arrivant, nous avons été accueillis par Mélina. Elle a commencé par nous montrer le bas du mur d’enceinte qui est un vestige du castellum ( camp militaire) construit par les Romains au III siècle. Il a été édifié pour participer à la défense de la péninsule armoricaine contre la menace d’invasions de Barbares. Elle nous a appris que le château a été occupé par les Anglais pendant 50 ans au Moyen-âge.

À l’intérieur, sur la maquette qu’elle nous a montrée, on a vu que le château de Brest est un château fort qui domine la ville de Brest à l’intérieur de la rade et près de l’embouchure de la Penfeld. Depuis la cour du château, on a observé la rade de Brest qui s’ouvre sur l’océan par le goulet. Nous avons traversé le château jusqu’à une salle où il y avait des sculptures qui ornaient les navires. La figure de proue (à l’avant) est souvent un dieu, un être humain ou bien un animal (dans son intégralité ou réduit au buste voire uniquement à la tête) évoquant souvent le nom du navire. Elle servait aussi à faire peur aux ennemis, à obtenir la protection des dieux représentés. La poupe (à l’arrière) était aussi décorée. Avant de fabriquer les statues, on faisait des ébauches en cire. La décoration navale était souvent inspirée de la mythologie gréco-romaine. Mélina nous a montré des sculptures représentant des dieux ou des déesses et nous a raconté leurs légendes. Nous avons adoré le récit du combat d’Hercule contre le lion de Némée et le mythe de la boîte de Pandore. Il y avait également une sculpture de poupe qui représentait un indien assis sur une tortue qui figurait la Terre. Dans la salle suivante, nous avons découvert Poséidon-Neptune, le dieu de la mer avec son trident, sa femme Amphitrite - Salacia, et leur enfant Triton. Au fond, il y avait Arès-Mars et Minerve-Athena, les dieux guerriers.

Flore

Découverte de la flore du bocage : jeu « à chacun son arbre ».

V FE37

Jeu de piste dans les bois

Lundi 28 mai après-midi, nous avons pris le tram puis le bus pour aller à Sainte Anne du Portzig. Nous avons retrouvé Maureen de Bretagne Vivante. Elle nous attendait près du bois avec Annick et Laëtitia. Elles avaient disposé des cartes en cercle. C’était comme un jeu de l’oie. Chacun est allé chercher ce qui lui plaisait dans la nature pour lui servir de pion. Nous étions en équipes de deux ou trois. On devait lancer le dé chacun à son tour, avancer son pion et lire le numéro de la carte où on arrivait. Maureen et ses amies avaient caché partout, dans le périmètre qu’elles avaient délimité dans le bois, une vingtaine de cartes. Il fallait retrouver la carte portant le numéro sur lequel nous étions tombés et lire le défi ou l’énigme à résoudre. Quand on avait trouvé, on allait donner notre réponse à un adulte. Pour nous aider, il y avait des photos, des livres documentaires, posés sur une table. Si on avait bon, on relançait le dé.

Maylie et son équipe ont dû reconnaître à qui était l’œil sur la photo et deviner qui a « un chapeau mais pas de tête, un pied mais pas de soulier ». Prune aussi est tombée sur cette question.

Camille, Ernest et Tristan ont dû fabriquer un oiseau avec ce qu’ils trouvaient autour d’eux, retrouver à quel animal appartenait la photo de l’empreinte de pattes (en regardant sur des fiches), reconnaître des odeurs. Ernest a eu du mal à trouver la différence entre une hermine et une belette, et il était fier d’avoir réussi.

L’équipe d’Océane devait retrouver des traces laissées par des animaux. Elle a trouvé une feuille grignotée, une plume et une fiente sur une feuille. Philomène a appris que le sanglier avait deux griffes à l’arrière des pattes.

Les Capucine ont vu des larves de coccinelles en photo, trouvé une libellule sur une feuille, dessiné un arbre, fabriqué un oiseau, deviné qui a cinq voyelles, à qui appartient cet œil, recherché une « usine à sucre » .

L’équipe de Mahaut et d’Angus a fabriqué des instruments de musique avec ce que chacun a trouvé, inventé un slogan sur la nature, reconnu à quelles familles appartenaient les larves en photo, trouvé quelque chose de comestible, reconnu des odeurs, dessiné une araignée.

Nous avons eu très chaud et très soif, mais c’était super ! Même Alice, qui est tombée les fesses dans les ronces, a adoré cette sortie.

L’air avec les Ce2 (2017-2018)

Lundi 26 mars, nous avons invité les petites sections de maternelle pour leur parler de l’air. Comme c’est un gaz invisible, on n’a pas toujours conscience de son existence et de sa présence autour de nous, surtout quand il est immobile. Nous ressentons la présence de l’air quand il y a du vent ou des courants d’air.

Alice a donc pris un feuille de papier pour faire des courants d’air sur le visage des petits.

Maud a attrapé de l’air dans un sac et l’a enfermé. Les enfants ont pu toucher le sac gonflé d’air. Il était bien rempli et bien dur.

Ernest a mis un mouchoir au fond d’un verre et l’a retourné dans l’eau. Quand il a ressorti le verre, le mouchoir n’était pas mouillé. Les PS ont cru qu’il avait fait de la magie. On leur a expliqué que c’est l’air présent dans le verre qui empêche l’eau de monter dedans et de mouiller le mouchoir.

Ensuite, on a remis le verre dans l’eau et laissé l’air sortir : lorsque l’air est sous l’eau, il remonte à la surface en faisant des bulles.

Tristan a montré comment gonfler un ballon sans souffler dedans. Quand on enfonce la bouteille, l’eau pousse l’air vers le ballon.

Naomi a pesé un ballon vide et un ballon gonflé : c’est le ballon gonflé qui est le plus lourd car il est rempli d’air. On peut peser l’air même s’il est très léger. On dit que l’air a une masse. L’air occupe un espace. On dit qu’il a un volume.

La maîtresse a allumé deux bougies et elle en a enfermé une dans un verre. Au bout d’un instant, la bougie enfermée s’est éteinte parce qu’elle n’avait plus d’oxygène. L’oxygène est l’un des gaz qui composent l’air. La flamme d’une bougie a besoin d’oxygène pour brûler. Le corps humain a également besoin d’oxygène pour fonctionner.

Louise a montré qu’une feuille chiffonnée en boule tombe plus vide que la même feuille bien plate. C’est l’air qui la ralentit.

Pour finir la séance, on a fabriqué des hélicoptères et des parachutes qui fonctionnent grâce à la présence de l’air.

La ferme aux insectes (compilation des comptes-rendus écrits par les élèves de CE2)

On y est allé avec les maternelles. Ils sont mignons, les petits. On a pris le car et on a chanté. C’était trop cool !

En arrivant, on a regardé des petits dessins animés expliquant la pollinisation et la transformation de la fleur en fruit. Ensuite, on est allé voir l’élevage de bourdons terrestres. On les reconnaît facilement parce qu’ils ont le « popotin » blanc. La reine est plus grosse que les ouvrières. Elle passe l’essentiel de son temps à pondre. Au début, ce sont des œufs d’ouvrières puis, vers la fin de sa vie (environ 1 an), elle pond des œufs de reines et de mâles. Les ouvrières ne vivent que 30 jours. Elles vont de fleur en fleur . Elles transportent le pollen qui féconde les fleurs qui vont alors se transformer en tomates.

Pendant l’hiver, les reines sont mises au réfrigérateur à 2°C pour faire comme si c’était l’hiver, puis on les met dans des pièces à 30°C. On éclaire ces pièces avec de la lumière rouge. Comme les bourdons ne voient pas dans cette lumière (ça leur fait comme s’il faisait noir), les personnes qui s’en occupent peuvent travailler sans protection car les boudons ne les remarquent pas, donc ne les attaquent pas. On leur met des petites ruches en carton avec un liquide sucré comme le nectar dont ils se nourrissent.

On a goûté des petites tomates et on a continué la visite dans les serres. On a découvert les ennemis des plantes (la mouche blanche, la chenille et l’araignée jaune) et les insectes super héros qui les défendent (Encarpia, Eretmocerus et Macrolopus).

La mouche blanche boit la sève. La plante s’affaiblit et finit par mourir. La chenille grignote les feuilles et la plante se sent mal. La petite araignée aussi fait beaucoup de mal aux plantes.

Encarpia mange les œufs, les larves et les mouches blanches.

Dans les serres, on cultive du tabac qui ne se fume pas. Il sert à faire des expériences pour vérifier l’efficacité des insectes amis des cultures.

Tous ses insectes auxiliaires aident les hommes à cultiver en utilisant moins de produits chimiques qui peuvent être mauvais pour la nature et notre santé.

La forêt, en automne, c’est chouette

Malgré un temps peu encourageant, les classes de CP, CP-CE2 et CE1A ont passé une belle journée au bois de Keroual, mardi 15 novembre. A lire, le compte-rendu qu’en ont fait quelques CP…

Mardi 15 novembre, nous sommes allés en bus au bois de Keroual. D’abord, nous sommes allés dans une petite cabane pour expliquer les règles dans la forêt et la chasse au trésor.

Il fallait trouver du houx, des marrons, et des bogues de marrons, des châtaignes et des bogues de châtaignes, des feuilles de chêne, des glands, des feuilles de noisetier et des noisettes, des feuilles d’érable, et l’akène, des feuilles de hêtre, des faines et aussi des feuilles de frêne.

Après avoir ramassé les feuilles et les fruits, nous avons encore un peu continué à marcher et nous nous sommes arrêtés pour pique-niquer. Nous avons déjeuné sur une couche de feuilles mortes près d’une clairière. Nous avons bien mangé. Pol, Pierre-Gabriel, Hanaé, Ludivine, Nathan, Lola, Marceau et Marie ont réussi le défi « zéro-déchets ». Bravo à eux ! D’autres enfants ont fait des efforts et avaient peu de déchets. Ensuite, il y avait une petite récréation.

Les Ce1 et les Ce2 nous ont invités dans leur petit musée des bêtes de la forêt. Nous avons vu un petit escargot, quelques vers de terre, deux araignées, plusieurs mille-pattes, un géophile, des limaces, beaucoup de cloportes, un pince-oreille, un carabe, une larve. Rowann a même pris un mille-pattes dans sa main, ça chatouille ! Mischka a pris une limace toute gluante. Un cloporte a caressé la main de Hoel et de Pierre-Gabriel.

Enfin, nous sommes rentrés à l’école. C’était une journée fantastique !

Texte dicté à la maîtresse par les CP

La journée mondiale de l’eau

Dans le cadre de la journée mondiale de l’eau instituée par les Nations Unies en 1992, nous sommes allés aux Capucins pour participer à des ateliers d’information et de sensibilisation sur le cycle de l’eau, ses usages, sa pollution et son indispensable préservation. Il y avait des expositions, des jeux interactifs, des films, des diaporamas, etc. C’était super !

Un grand merci aux parents qui nous ont accompagnés, aidés et donné des explications.

La journée Water Responsable des CE2

Nous sommes arrivés à la cale de l’Adonnante et nous avons retrouvé Eldrine, de l’association « Du flocon à la vague ». Elle nous a indiqué notre premier atelier : un jeu de memory géant dont les cartes présentaient des détritus polluant la mer. Nous avons retourné toutes les cartes avant l’atelier suivant qui était un jeu de l’oie géant. On a fait deux équipes car il y avait deux plateaux de jeu. On lançait le dé, on avançait sur une case et on nous posait une question correspondant à cette case. Nous avons été filmés par France 3. À l’atelier suivant, on a regardé une goutte d’eau de mer sous un microscope relié à une télé. Elle avait d’abord été concentrée grâce à des filtres. On a pu observer plein de sortes de microplanctons (larves de balanes, des copépodes…) qui bougeaient sous nos yeux ! L’animatrice nous a montré un jeu de cartes avec différentes espèces de planctons qui apparaissaient en 3D sur son téléphone.

Ensuite avait lieu la course des champions : les sportifs invités devaient s’affronter en paddle. Notre sportive était Méryll Boulangeat, une championne de skicross. Elle est arrivée 4e mais ce n’est pas grave. Elle est venue nous parler et signer des autographes. Elle a été très sympa. Ensuite, on a dégusté notre pique-nique « zéro déchet » . Après le repas, on a fait un dessin géant collectif avec des Posca puis nous sommes allés discuter avec des champions sportifs et des aventuriers. Il y avait Marianne Bréchu, championne du monde de ski freeride, Capucine Trochet, navigatrice sur le Tara Tari et Philippe Mesmeur, un champion de planche à voile. On a échangé sur les idées que nous avions pour économiser l’eau et limiter la pollution. Pour finir, on a rencontré Camille qui a passé deux ans sur un catamaran, le Nomade des Mers, en complète autonomie grâce aux inventions du Low tech lab. Nous avons tracé la silhouette de son bateau au sol avec du scotch coloré.

Après la photo pour le journal, nous sommes rentrés à l’école.

La pêche dans le ruisseau de Keroual

En arrivant à Kéroual, nous avons retrouvé Maureen et sa collègue Caroline. On a commencé par observer le ruisseau : ses berges, son lit. Maureen nous a rappelé que le ruisseau coulait à partir d’une source, se jetait dans une rivière qui se jette dans un fleuve, la Penfeld qui se jette dans l’Océan.

Nous avons fermé les yeux, et avons écouté et compté les bruits que nous entendions. Ernest a glissé et est tombé dans la boue.

Ensuite, Maureen nous a donné des passoires en guise d’épuisettes et des pots où nous avons mis de l’eau et un bâtonnet pour les animaux qui ont besoin de remonter à la surface. Nous y mettions tous les animaux que nous attrapions. Nous étions par équipes de quatre. Il fallait bien chercher dans le ruisseau en retournant les cailloux, en recherchant sous la rive… Mahaut a laissé échapper un rocher et Francisco a été tout éclaboussé !

Nous avons versé le contenu de nos pots dans des barquettes pour mieux l’observer. On avait aussi des loupes. On a trouvé des animaux plus bizarres les uns que les autres. Grâce à des dessins, nous avons pu les identifier : des gammares, des larves de demoiselles, d’éphémères, de libellules (on l’a appelée « le gros pas beau »), de tritons, de phryganes, des petits poissons (dont un chabot)

Avant de partir, on a fermé les yeux et essayé de reconnaître les bruits que nous entendions : des oiseaux dont un rouge-gorge, le ruisseau, des voitures, un camion, des joggeurs…

On a aussi regardé des photos des larves et des insectes une fois adultes. On a relâché les animaux et on a fait un gros câlin à Maureen parce que c’était notre dernière sortie avec elle. En rentrant à l’école, on lui a écrit une lettre qu’on a tous signée pour la remercier.

Nous avons appris vraiment plein de trucs sur les animaux qui vivent dans le ruisseau de Kéroual.

La piscine pour les ce2 et les cm1 année 2018

Tous les mercredis matins, les élèves de CE2 et de CM1 sont allés à la piscine de Recouvrance. Les enseignantes, les maîtres nageurs et un parent prenaient en charge les élèves répartis en 6 groupes de 3 niveaux :

Niveau perfectionnement pour les enfants déjà nageurs

Niveau apprentissage de la nage

Niveau débutant pour se familiariser, vaincre sa peur de l’eau de façon ludique et progressive

Nous remercions tous les parents qui nous ont accompagnés et sans qui cette activité n’aurait pu avoir lieu.

La visite du parc de Menez Meur - CE2

Le parc de Menez Meur se situe à Hanvec dans les Monts d’Arrée. Nous avons pris le car avec la classe de petite section de Mme Noyer. Après 45 minutes de route, nous sommes arrivés. Près du parking, on a vu un champ où des ânes paissaient. Anaïs, une animatrice du parc, nous a accueillis. Elle a commencé par nous présenter les animaux qui vivent dans le parc : des animaux sauvages (loups, cerfs, sangliers) et des animaux domestiques qui sont habitués à vivre avec les hommes (vaches, cochons, volaille…) Les animaux qui vivent dans la nature ne sont pas toujours faciles à observer, mais on a des preuves de leur présence : bruits (chants des oiseaux, cris, …), empreintes, crottes, restes de repas, plumes… Certains animaux sont carnivores (les loups),ils ne mangent que de la viande ; d’autres herbivores (les cerfs) et ne mangent que des végétaux, ou encore omnivores (les sangliers) qui mangent de tout. Nous avons commencé par l’enclos des loups. Il fallait faire le moins de bruit possible car les loups sont peureux et ont une ouïe excellente. Il y en avait deux qui sont frères. Leurs soigneurs les nourrissent avec du poulet cru à des heures différentes pour ne pas leur donner d’habitudes. Parfois, ils leur cachent la nourriture. Ce sont des animaux territoriaux. Ils marquent leur territoire en faisant pipi ou caca. Nous avons aperçu leur tanière bien cachée dans les buissons. Dans la nature, les loups vivent généralement en meute. Ils se déplacent les uns derrière les autres pour laisser le moins de traces possible. Au Moyen âge, on disait « leu » pour « loup », d’où l’expression « à la queue leu leu ». En meute, ils peuvent chasser de gros animaux, mais ils choisissent ceux qui sont faibles (malades ou blessés) ce qui permet d’assainir la nature. S’ils ont trop de nourriture, ils l’enterrent pour faire des réserves. Seuls le mâle dominant et la femelle dominante peuvent s’accoupler. On les appelle le couple alpha. La louve allaite les louveteaux ; les loups sont des mammifères. Ensuite, nous sommes allés voir la harde des cerfs. Nous avons pu toucher un bois qu’Anaïs avait ramassé. Il est assez rare d’en trouver car c’est une source de calcium pour les animaux de la forêt qui s’en nourrissent. En effet, c’est de l’os. Il pousse sur la tête des mâles adultes (qui ont plus de deux ans) au printemps. Plus le mâle est âgé, plus le bois est grand. Pourtant, il ne met qu’un mois à pousser, ce qui demande beaucoup d’énergie au cerf. Il a donc besoin de beaucoup manger à cette période. Au début, le bois est couvert de velours. Le cerf les perd un par un, ce qui le déséquilibre et peut lui faire mal au cou. Il se frotte alors aux arbres pour accélérer la chute et marque ainsi son territoire. Entre juin et juillet, les biches mettent bas d’un petit faon qu’elles allaitent. Ensuite, ils se nourrissent d’herbe, de céréales, de foin… Nous sommes ensuite montés sur un promontoire pour observer la compagnie de sangliers. On reconnaît la laie parce qu’elle a des mamelles mais pas de défenses. Elle aussi allaite ses marcassins. Les sangliers creusent la terre pour se nourrir de racines, de champignons, de vers. Les soigneurs leurs donnent également des céréales, des betteraves fourragères… Après, nous sommes allés à la ferme pédagogique. Nous avons vu

  • un cheval de trait qui est grand et puissant
  • des cochons
  • des oies et une paonne
  • des lapins dans leur clapier
  • des poneys shetland
  • des vaches, une normande et une pie noire bretonne
  • des chèvres
  • des moutons (bélier, brebis, agneau) d’Ouessant

Nous avons mangé avec les maternelles sur l’aire de pique nique. Nous avons adoré cette sortie car nous avons vu des animaux que nous n’avions encore jamais vus en vrai.

Les CE2 à la gym

Molinie

Récolte de molinie pour fabriquer des matelas.

V 7361
V FBF7
V D160

Mont Saint Michel de Brasparts L’ascension

9h43 Groupe C début de l’ascension : on se rapproche du sommet ! La chapelle de Saint Michel de Brasparts est en vue !

V 99AA

Patinoire

Les CE2, CM1 et CM2 se rendent à la patinoire pendant tout un semestre. Les progrès sont spectaculaires !

Patinoire Année 2017/2018

Cette année, les ce2 et les cm1 se rendent à la patinoire tous les lundis matins. Le professeur s’appelle Sergueï. Les séances sont organisées en ateliers :

  • le petit bonhomme : on passe par-dessus une crosse de hockey puis jambes fléchies sous une barre
  • le freinage : on patine jusqu’à un cerceau, on s’arrête (si possible pieds parallèles), on ramasse un cône et on le rapporte au camarade suivant, etc.
  • le citron en avant ou en arrière : les pieds dessinent une forme de citron.
  • la cigogne : on patine sur un pied et sur l’autre au retour
  • la trottinette : on patine sur un pied qui ne bouge pas et on se propulse en poussant sur l’autre pied. On inverse les pieds au retour
  • le slalom entre des cônes
  • le hockey : on apprend à pousser le palet avec une crosse et à tirer dans une petite cage de but.

Un grand merci à nos accompagnatrices Anne-Gwen, Émilie, Jeanine, Marion, Muriel qui aident les enfants à mettre les patins,à régler les casques, voire s’élancent sur la glace, et sans qui les sorties ne pourraient avoir lieu.

Classe de CP de Mme Bréhonnet

Vous trouverez ici les productions des élèves de CP lors de la période de confinement.

Les 100 jours des CP

Pour célébrer les 100 premiers jours d’école, les CP ont créé des œuvres regroupant 100 objets.